Le Tao Te King

Sylvain Rouchié : Tao Te King

Le Tao Te King («Livre de la Voie et de la Vertu» du «Mystère originel suprême») aurait été écrit autour de 600 av. J.-C. par Lao Tseu, le fondateur du taoïsme. Les plus anciens fragments connus, découverts à Guodian remontent à 300 av. J.-C. environ. Les premières versions complètes très semblables au texte actuel, provenant de Mawangdui, datent de la première moitié du IIe siècle av. J.-C.

Le Taoïsme (enseignement de la Voie) est une philosophie et une religion chinoise, se fondant sur le principe qui est à l’origine de toute chose : le Tao. Le Taoïsme peut se définir par la recherche d’une harmonie entre l’Homme et la nature : le monde est conçu comme le fruit de deux moitiés complémentaires : le Yin et le Yang. Le Yin est femelle, sombre, docile, associé à la nuit. Le Yang, lui, est mâle, clair, fort, lié au jour. Chacun à besoin de l’autre pour être en harmonie, en équilibre. Le terme Tao, qui signifie « voie », « chemin », est couramment employé dans son sens figuré de «voie spirituelle ou idéologique» ou «mode d’action». Le Tao Tö King est le seul ouvrage à présenter le Tao pour lui-même. Tö signifie «vertu» ou «vertu morale» voire «effet» ou « pouvoir».

Pour le Taoïste, l’Homme n’est pas coupable de ses erreurs : l’ignorance est à l’origine du mal-être de l’Homme. Dans le Taoïsme, il n’y a pas de concept d’enfer, de diable, ou de forces du mal, ni même de notions moralisatrices. Le sens d’équité et la volonté d’être en harmonie avec l’univers sont les principes majeurs du Taoïsme. C’est un idéal d’insouciance, de liberté individuelle, de refus des rigueurs sociales, et de communion avec la nature qui est en changement perpétuel.

Un grand principe du Taoïsme est celui du non-agir (wou wei), qui ne veux pas dire « ne rien faire », mais plutôt « agir en étant conscient que c’est la vie qui dirige chaque action ». La confiance en la nature est primordiale, à l’instar de l’eau d’une rivière qui coule et se moque des obstacles. La doctrine du non-agir professe de ne pas entreprendre d’actions contraires à la nature.

Les Taoïstes bannissent la mauvaise nourriture, ceci incluant la viande. Ils pratiquent la méditation, la gymnastique, et mettent en pratique des techniques respiratoires. La pratique sexuelle n’est pas réprimée, bien que l’excès de toute chose soit déconseillé. Si les Taoïstes se conforment à ces pratiques, c’est parce qu’ils sont en quête de l’immortalité.

Les aphorismes du Tao Tö King peuvent faire l’objet de diverses interprétations. On y trouve aussi bien des conseils aux gouvernants que des principes de perfectionnement individuel et des passages naturalistes ou cosmologiques.

Le Tao Tö King a eu une influence considérable en Extrême-Orient et en Occident à travers ses très nombreuses interprétations et traductions. Il n’existe d’ailleurs pas encore de conclusion définitive quant à sa signification réelle. Selon certains, ce serait un recueil d’aphorismes provenant de plusieurs auteurs où on y trouve des propositions contradictoires. D’autres au contraire y voient un texte cachant une cohérence profonde sous un style allusif et elliptique. En Chine, le texte a toujours été accompagné d’un commentaire. Par l’interprétation qu’ils suggèrent, ces commentaires ont contribué autant que le texte d’origine au sens de l’ouvrage et à sa place dans la philosophie et la religion.

Selon la tradition chinoise, Lao Tseu, lassé des dissensions politiques, décida de partir monté sur un buffle. Arrivé à une passe marquant la limite ouest du territoire des Zhou, aujourd’hui identifiée à la passe Hangu de l’État de Qin, actuel district de Lingbao au Henan, il fut sollicité par le gardien Yin Xi de laisser une trace de son enseignement et rédigea le Tao Tö King avant de disparaître. L’ensemble compte un peu plus de cinq mille caractères (jusque 5500 environ), d’où l’un de ses noms. Des considérations numérologiques ont pu jouer, car Cheng Xuanying, taoïste du VIIe siècle, prétend que la version d’origine fut délibérément raccourcie par l’alchimiste Ge Xuan pour qu’elle compte exactement cinq mille caractères. Plusieurs exemplaires de 4999 caractères ont été découverts à Dunhuang.

Le Tao Tö King est divisé en deux parties, Tao « voie » et Tö « vertu ». La version habituelle est composée de 81 courts chapitres, les 37 premiers constituant la section Tao et les derniers la section De, mais dans les versions intégrales les plus anciennes (Mawangdui, IIe siècle av. J.-C.), la section De est placée devant la section Tao. Le nombre actuel de 81, carré de 9, pourrait avoir été choisi pour des raisons symboliques, car 9 a une valeur particulière dans le taoïsme. Ce découpage apparait clairement dans la version Heshanggong (Han Occidentaux) et devient standard sous les Tang. Le texte est écrit en chinois classique littéraire, d’une manière souvent rythmée. Les chapitres commencent souvent par un petit poème qui paraît complet mais énigmatique, suivi d’une transition (comme « raison ou cause » ou « c’est pourquoi »), suivi de ce qui pourrait être un commentaire, ou un autre poème éclairant le premier. Ce peut être un style de rédaction, ou l’indice d’un commentaire très primitif qui se serait incorporé au texte canonique.

Comme l’énonce un passage du chapitre 70 : « Mes paroles sont faciles à comprendre […] pourtant personne au monde ne les comprend ». Il est écrit en langue classique, difficile à saisir pour les Chinois d’aujourd’hui. Outre les problèmes d’absence de ponctuation et de polysémie des caractères dont le sens peut changer au fil du temps, les écrits anciens s’adressent à un public très limité contemporain à Lao Tseu, capables de restituer le sens exact d’un texte elliptique, aptitude que les lecteurs des époques ultérieures ont perdu. Le style poétique de l’ouvrage avec phrases couplées, dans lequel la rime ou l’assonance ont dû jouer un rôle, doit être pris en compte dans l’analyse des mots employés. La polysémie et l’incertitude grammaticale sont réduites par la versification, qui impose aux vers à la fois une structure grammaticale identique, et une symétrie dans les alternances sémantiques. Dans certains passages, cette contrainte formelle permet même d’identifier des modifications du texte, ou des erreurs dans le découpage des chapitres.

 

* Quelques thèmes marquants du Tao Tö King:

– L’origine de tous les éléments et êtres de l’univers se trouve dans le Tao qui est intangible, permanent et ineffable. – La vertu (Tö) est l’effet du Tao. – Rôle essentiel du vide (wu), par exemple l’intérieur du vase qui lui permet de remplir sa fonction. – Valeur de la mise en retrait de soi, de la passivité et de la quiescence, par lesquelles on exerce une puissance naturelle. – Critique de la force et de l’affirmation : le nouveau-né faible incarne la souplesse et la vie contrairement au cadavre, solide parce que rigide. – La richesse appelle le crime. – Définir certaines choses comme belles en définit inévitablement d’autres comme laides. – L’action appelle la réaction ; le « non-agir » (wuwei) en évitant la sur-réaction est un mode idéal de gouvernance. – Le gouvernant accompli considère le peuple, tout comme le Ciel considère la création, avec détachement. – Valeur de la régression, où tout retourne au Tao pour se ressourcer. – L’état de la société était meilleur avant la civilisation. – Au-delà du mental, une force parallèle et intemporelle guide la forme. – Thème de la « femelle mystérieuse » (xuanpin), esprit de la vallée. – « Le sage peut découvrir le monde sans franchir sa porte. Il voit sans regarder, accomplit sans agir. » – « Plus le sage donne aux autres, et plus il possède. » – « Savoir se contenter de ce que l’on a, c’est cela être riche. » – « Les Hommes sont différents dans la vie, semblables dans la mort. »

 

* La difficulté d’interpréter le Tao Tö King:

Par l’interprétation qu’ils suggèrent, les quelques 700 commentaires chinois du Tao Tö King ont contribué autant que le texte d’origine au sens de l’ouvrage et à sa place dans la philosophie et la religion. Il existe donc de nombreuses interprétations différentes: philosophiques, politiques, religieuses (dont le bouddhisme), artistiques, médicales, stratégie militaire, arts martiaux ou encore l’énergie sexuelle. On en dénombrait déjà une trentaine quand l’empereur Tang Xuanzong ordonna en 731 que tous les fonctionnaires en aient une copie, et le mit au programme des examens impériaux. Sous les Yuan, Du Daojian (1237-1318) a fait remarquer que le Dao «semble être compris différemment par chaque dynastie». Son extraordinaire souplesse d’interprétabilité serait d’ailleurs une des raisons de son succès.

Le plus ancien commentaire se trouve dans le livre de Hanfei, un légiste intéressé par son aspect politique. Les plus influents sont ceux de Heshanggong, puis de Wang Bi à partir des Song. Parmi les commentaires notables on peut encore citer le Xiang’er et ceux de Yan Zun et Fu Yi.

Selon le commentaire de Heshanggong, « le vieillard sur le fleuve » est un personnage semi-légendaire lié au courant Huanglao. Dieu ou immortel, il aurait été selon certaines sources le maître spirituel de l’empereur Wendi. Le commentaire qu’on lui attribue, Laozi zhangju ou Commentaire par chapitre et par phrase du Laozi, daterait du IIe siècle – bien que le premier exemplaire attesté date de 550 – et a exercé une grande influence des Han aux Song, malgré la concurrence croissante du commentaire de Wang Bi à partir des Jin. Il appartient au genre zhangju des commentaires systématiques et propose une interprétation plus utilitaire (entretien de la santé, maintien de l’ordre politique et de l’harmonie sociale, etc.) que philosophique. On y retrouve les idées courantes à l’époque Han : théories du Yin et du Yang, cinq éléments, influence de la vertu du souverain sur le destin du pays, souffle primordial comme matière originelle de l’univers.

Selon le commentaire de Yan Zun (83-10 av. J.-C.) ou Yan Junping, le Tao Tö King expose une philosophie plus systématique, dans laquelle la notion de ziran «nature» joue un rôle important.

Selon le commentaire de Xiang’er, le Tao Tö King reflète un contenu religieux: dévotion au Tao, divinisation de Lao Tseu, poursuite de l’immortalité (xianshou) par l’enrichissement du qi et l’observance de règles morales.

Selon le commentaire de Wang Bi à la base de presque toutes les traductions en langue étrangère, le Tao Tö King n’est ni religieux ni cosmologique ni directement pratique, mais essentiellement logique. Wang Bi dégage du Tao Tö King un système plus cohérent et rigoureux que ses prédécesseurs, dans lequel le Tao, origine ontologique de toutes choses, est absolument transcendant, sa nature étant « wu » ou le « non-être ». Ce commentaire relie Lao Tseu au Tchouang-tseu et au Yi Jing pour constituer un ensemble appellé Sanxuan «les trois traités de la profondeur». Le courant philosophique Xuanxue auquel ce commentaire appartient a parfois été nommé néo taoïsme, mais peut aussi être considéré comme un maillon du confucianisme. Wang Bi ne se définit en effet pas comme taoïste et s’appuie sur le Tao Tö King pour régénérer le système social et politique instauré par les confucéens. Wang Bi considère Confucius et non Lao Tseu comme le sage idéal.

Avec tout ces commentaires et interprétations, il n’existe donc pas encore de conclusion définitive quant à la signification réelle du Tao Tö King, ni l’objectif de son ou de ses auteurs à l’origine. En attendant de nouvelles découvertes archéologiques ou philologiques qui lèveraient enfin le doute sur son sens originel, on se contentera de constater son extraordinaire souplesse d’interprétabilité, une des raisons de son succès et adaptabilité. Cette diversité se retrouve aussi dans les traductions étrangères, au sein desquelles on distingue quelques grandes directions :

– Mythologique : thème du chaos, de la déesse mère, des cultes animistes comme celui des cours d’eau (les tourbillons ont été proposés comme origine au caractère xuan); – Mystique: expérience personnelle, sans les visions; – Philosophique : système métaphysique; – Sociale: manuel de perfectionnement de soi.

Les différentes traductions peuvent donc s’écarter sensiblement l’une de l’autre.

 

* Le Taoïsme, enseignement de la Voie:

Le taoïsme est un grand courant de pensée qui imprègne depuis l’Antiquité toute la culture chinoise. Il a donné corps à une religion ritualiste, fondée sur le culte du mythique Lao-Tseu, philosophe fait dieu.

Deux termes en chinois correspondent au mot taoïsme en français : « daojia » et « daojiao », littéralement « famille de la Voie » et « enseignement de la Voie ». Le premier désigne le taoïsme philosophique associé aux livres de Lao-Tseu et de Tchouang-tseu, dont l’essentiel remonte au IVème siècle avant notre ère. Le second se réfère au taoïsme religieux initié au IIème siècle et souvent appelé « Voie des Maîtres célestes » préconisant la récitation du seul texte de Lao-Tseu:

«Être et non-être viennent de l’Obscur au-delà de l’obscur» (Dieu est inconnaissable) «Vide et plein passent l’un dans l’autre» (perfection de la Création) «Défais-toi de ton tempérament fier et de tes désirs multiples» (détachement de son ego) «Ceux qui savent ne parlent pas, ceux qui parlent ne savent rien» (humilité) «Qui fait corps avec le Principe devient si haut qu’inaccessible» (simplicité) «Qui excelle à activer le souffle repousse tous les maux» (conscience et méditation) «Il connaît sans apprendre, accomplit sans agir» (perception et communion) «Il aime se rendre en audience auprès des esprits» (prière) «L’Un est favorable quand approché, néfaste à qui lui tourne le dos» (recherche d’unité) «Poudre de cinabre – quintessence du Bois – se mêle au Métal pur» (alchimie intérieure)

 

* Les pratiques:

Les nombreuses pratiques, tant psychiques que corporelles, visent toutes à parvenir à l’Unité. Le sage qui a réussi à se fondre dans le Tao devient un immortel (hsien) et rejoint la cohorte des dieux.

 

* La préparation spirituelle:

L’adepte taoïste doit cultiver la vertu, le « Tö », synonyme de modestie, d’humilité, de tolérance et d’altruisme. Elle se manifeste par la poursuite du wou wei, art du non-agir, qui doit être compris comme le choix de «ne pas intervenir dans le cours naturel des choses». Le croyant doit vider son esprit de toute notion et de toute passion, se libérer de tout lien terrestre pour retourner à l’authenticité naturelle. « L’alchimie intérieure » (nei tan) est l’outil principal du développement spirituel du pratiquant. Forme de méditation, elle lui permet de se purifier intérieurement pour atteindre l’envol mystique. Elle utilise des techniques de rétention du souffle (qi ou tchi) afin de transformer l’organisme en un corps immortel.

 

* La préparation physique:

Les pratiques dites «de Longue Vie» sont censées donner l’énergie nécessaire pour parvenir à l’immortalité physique. Elles sont d’ordres différents:

– Ésotérisme (alchimie [wai tan] qui consiste à boire un élixir à base de cinabre ou de jade dans des coupes en or), – Alimentation (consommation d’aliments et d’herbes médicinales contenant des «énergies» pour nourrir les organes habités par des dieux mais aussi par des démons, les «Trois Vers»), – Gymnastique (Qi Gong ou Kong Fu, Tai Chi Tchuan, Hsing Yi Tchuan, Pa Koua Tchang), – Sexualité (effectuer l’acte sexuel sans éjaculation pour éviter la dispersion de l’énergie vitale), – Médecine (massothérapie, héliothérapie, acupuncture).

 

* Les rites et les fêtes:

Il existe peu de cérémonie collective. Les taoïstes viennent individuellement dans les temples faire des offrandes et brûler de l’encens, dont la fumée est censée accompagner les prières à l’adresse des dieux et des ancêtres.

La cérémonie tiao (ou tiao tchai) est un ensemble de rites de purification, de réconciliation et d’union avec les forces supranaturelles. Accomplie annuellement ou à quelques années d’intervalle, cette cérémonie peut durer de trois à soixante jours. Elle était appelée à l’origine tchai, terme qui désigne aujourd’hui essentiellement les rites envers les morts. Le terme tiao est utilisé pour les autres types de cérémonies. Tiao et tchai sont désormais accomplis ensemble. Il existe aussi la célébration des anniversaires des divinités ainsi que le calendrier chinois et les fêtes.

 

* Les textes fondamentaux

– Le Dao De Jing (Tao King): le principal «Livre de la Voie et de la Vertu» attribué à Lao-Tseu enseigne la conduite à tenir pour vivre en harmonie avec le Tao. Les premiers chapitres donnent la définition du Tao et les derniers celle du «» (la vertu du Tao). Les taoïstes doivent le connaître par coeur.

– Le Tchouang-tseu: son nom lui provient de son auteur présumé Tchouang-tseu qui vécut au IVème s. av. J.-C. S’y trouve exposé le principe de la transformation des êtres. Il se présente sous forme de paraboles et d’allégories.

– Le Lie-tseu: le «Vrai classique du Vide parfait», attribué à Lie-tseu, présente des compilations sur le vide et la cosmologie.

– Le Tao-tsang: le canon taoïste est un immense recueil de textes sur les connaissances et les pratiques taoïstes, assemblés à partir de 745 apr. J.-C. Il aborde le sujet des sacrifices, des temples, de l’exorcisme, de la divination, de la géomancie et des pratiques de la Longue Vie.

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Pour celles et ceux qui ont suivi mes ateliers et mes différents groupes de méditations, vous avez goûtés au Tao philosophique, c’est en fait, la partie qui me passionne le plus.

 

Aussi, je vous offre durant les semaine à venir, la publication d’un post par verset du Tao Te King afin de pouvoir en discuter ensemble et aborder ainsi les grands thèmes qui pourront nous aider à réfléchir sur nous-mêmes.

 

Verset 1 – Vivre le mystère

Verset 2 – Vivre l’unité paradoxale

Verset 3 – Vivre dans le contentement

Verset 4 – Vivre dans l’infini

Verset 5 – Vivre dans l’impartialité

Verset 6 – Vivre dans la créativité

Verset 7 – Vivre, par-delà l’ego

Verset 8 – Vivre au gré du courant

Verset 9 – Vivre humblement

Verset 10 – Vivre dans l’unité

Verset 11 – Vivre à partir du vide

Verset 12 – Vivre avec ses convictions

Verset 13 – Vivre avec un esprit indépendant

Verset 14 – Vivre au-delà du monde des formes

Verset 15 – Vivre sans se presser

Verset 16 – Vivre avec constance

Verset 17 – Vivre comme un dirigeant éclairé

Verset 18 – Vivre sans règles

Verset 19 – Vivre sans attaches

Verset 20 – Vivre sans acharnement

Verset 21 – Vivre le paradoxe insaisissable

Verset 22 – Vivre avec flexibilité

Verset 23 – Vivre naturellement

Verset 24 – Vivre sans excès

Verset 25 – Vivre dans la Grandeur

Verset 26 – Vivre dans le calme

Verset 27 – Vivre en suivant votre lumière intérieure

Verset 28 – Vivre une vie vertueuse

Verset 29 – Vivre selon la loi naturelle

Verset 30 – Vivre sans avoir recours à la force

Verset 31 – Vivre sans armes

Verset 32 – Vivre dans la bonté parfaite du Tao

Verset 33 – Vivre en ayant la maitrise de Soi

Verset 34 – Vivre selon la grande voie

Verset 35 – Vivre au-delà des plaisirs terrestres

Verset 36 – Vivre dans l’obscurité

Verset 37 – Vivre avec simplicité

Verset 38 – Vivre selon sa propre nature

Verset 39 – Vivre dans l’intégrité

Verset 40 – Vivre en retournant et en cédant

Verset 41 – Vivre au-delà des apparences

Verset 42 – Vivre en se fondant dans l’harmonie

Verset 43 – Vivre avec douceur

Verset 44 – Vivre en sachant quand s’arrêter

Verset 45 – Vivre par delà la superficialité

Verset 46 – Vivre dans la sérénité

Verset 47 – Vivre en étant

Verset 48 – Vivre en réduisant

Verset 49 – Vivre sans juger

Verset 50 – Vivre comme un immortel

Verset 51 – Vivre selon la vertu cachée

Verset 52 – Vivre en retournant auprès de la Mère

Verset 53 – Vivre honorablement

Verset 54 – Vivre comme si votre vie faisait une différence

Verset 55 – Vivre en lâchant prise

Verset 56 – Vivre selon la connaissance silencieuse

Verset 57 – Vivre sans autoritarisme

Verset 58 – Vivre sereinement face à la bonne ou la mauvaise fortune

Verset 59 – Vivre avec économie et modération

Verset 60 – Vivre en étant immunisé contre le mal

Verset 61 – Vivre en restant en dessous

Verset 62 – Vivre dans la chambre au trésor du Tao

Verset 63 – Vivre sans difficultés

Verset 64 – Vivre ici et maintenant

Verset 65 – Vivre en demeurant simple

Verset 66 – Vivre en imitant l’océan

Verset 67 – Vivre en accord avec les trois trésors

Verset 68 – Vivre en coopérant

Verset 69 – Vivre sans ennemi

Verset 70 – Vivre dans la pleine conscience

Verset 71 – Vivre sans la maladie

Verset 72 – Vivre dans le respect et l’acceptation

Verset 73 – Vivre dans le filet du Ciel

Verset 74 – Vivre sans crainte de la mort

Verset 75 – Vivre en demandant peu

Verset 76 – Vivre en fléchissant

Verset 77 – Vivre en offrant ses surplus

Verset 78 – Vivre à l’image de l’eau

Verset 79 – Vivre sans ressentiment

Verset 80 – Vivre sa propre utopie

Verset 81 – Vivre sans accumuler

 

Sylvain

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